José Padilha: « Avant d’occuper les favelas, c’est la police qu’il faudrait occuper »
Faut-il avoir la cervelle complètement en bouillie pour apprécier « Narcos » de José Padilha? Le cinéaste brésilien emprunte dangereusement les sentiers battus par Luc Besson: ceux qui consistent à construire des oeuvres d’une mièvrerie dérangeante, presque gênante, pour quiconque essaye de porter un jugement objectif sur ses films.