Il était une fois au Maracanã (2): Tiki-taka, qu’ils disaient
18 juin 2014
Le plus beau temple du football mondial a vu mourir la poésie du jeu. Ce même théâtre qui a vu courir Garrincha, a alegria do povo, « la joie du pleuple » pour les francophones; ce paradis des poètes discrets du ballon rond tels que Zico, Zizinho ou Rivelino a définitivement enterré les rêves de certains nostaligiques de l’esthétisme qui caractérisait la Roja. Il n’y aura pas de renouveau du Tiki-taka.